Concevoir les vacances en pensant à la lutte contre le réchauffement climatique, en limitant son empreinte carbone est une tendance forte.

Mais si l’on veut développer les voyages bas carbone, il faut urgemment développer des infrastructures de mobilité douce, raisonner en termes d’intermodalités des transports. Malheureusement bon nombre de nos territoires ne sont accessibles qu’en voiture. A noter de nombreuses initiatives pour concevoir d’autres mobilités ou des hébergements plus écoresponsables comme en Sarthe.

Depuis 2019, ces vacances de printemps sont les premières sans restrictions et ou sans confinement avec une très forte envie des Français de repartir et de profiter de cette liberté retrouvée.

Les réservations sont en hausse mais la guerre en Ukraine a eu un impact sur la croissance des réservations avec un arrêt temporaire au début du conflit. L’inquiétude sur le pouvoir marquée par la hausse des prix des carburants poussent de nombreux vacanciers à choisir de partir moins loin au bénéfice des destinations de proximité des bassins émetteurs comme la Bretagne que ce soit le littoral avec un engouement pour le Golfe du Morbihan, la Côte de Granit Rose mais aussi de bonnes perspectives pour la Bretagne intérieure.