La baisse est conséquente pour les professionnels du tourisme, en particulier les hébergeurs.

Plusieurs tendances se dessinent cette année : une présence forte dans les résidences secondaires, le développement fort de l’excursionnisme avec des sorties à la journée pour des clientèles de proximité mais qui consomment peu en dehors de la restauration ou de la vente à emporter, et toujours une indécision forte chez les Français qui n’ont pas encore décidé s’ils vont partir ou non. 

Ces facteurs, combinés à l’absence des étrangers, impactent fortement les hébergeurs, qui accusent un retard au global de -10 à -25% sur l’ensemble du pays ; en zone urbaine, cela peut monter jusqu’à -50%, voire 70% à Paris.