Les vacances de février sont d’habitude l’occasion de partir pour 13 millions de partants ; cette année, ils seront 4 fois moins, et les départs profiteront assez peu aux professionnels du tourisme : les séjours se feront d’abord chez la famille, les amis, ou dans les résidences secondaires. D’ailleurs, 50% des établissements sont toujours fermés.

Pourtant, les hébergeurs proposent des niveaux de prix très bas en cette période de vacances scolaires. Ils ont mis en place des protocoles très stricts, ont renforcé les mesures sanitaires et d’hygiène… Ils appliquent les gestes barrière, la distanciation, réduisent leur capacité pour garntir la sécurité des clients. Pour pallier la fermeture des restaurants et le couvre-feu, des hôtels se sont lancés dans la confection de repas avec service en chambre.

On ne le dit pas assez, on n’a pas identifié de cluster dans les hébergements touristiques, grâce au professionnalisme des opérateurs. On est bien plus en sécurité dans un hôtel ou une résidence de tourisme que dans les locations entre particuliers qui n’offrent pas vraiment de garantie.