Les vacances de printemps lancent habituellement la saison touristique. Cette année pourtant, à cause du confinement, les professionnels font grise mine. Didier Arino revient sur les conséquences de la crise en cours.

On estime que c’est environ 4 milliards d’euros de perte nette rien que sur ces vacances de Pâques. Les acteurs du secteur savent que ce mois d’avril est perdu. Le plus important maintenant pour le secteur touristique, c’est qu’il puisse y avoir une reprise pour l’été, avec à l’idéal un réamorçage au mois de mai.

Pour compenser, les professionnels du tourisme ont déjà l’assurance que 3 millions de français ont renoncé à partir à l’étranger, et passeront leurs vacances dans l’Hexagone.